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TTech Racing Predator XRS– 2nd review part – RC Tout Terrain 4x4 1/10 électrique
par Stéphane | Moumerico | JC , le 23/12/2006

TTech Racing Predator XRS– 2nd review part – RC Tout Terrain 4x4 1/10 électrique

Cet article propose une ou plusieurs Videos de voitures RC

Cet article propose une ou plusieurs Setup Sheet de voitures RC

Introduction

Vous avez été très nombreux à apprécier la première partie de notre essai du Predator XRS et nous vous en remercions.

Nous revoici donc pour le second volet de cet essai avec au programme :
- le montage de l’électronique, de la carrosserie, des roues, etc…
- l’essai du Predator XRS
- les réglages disponibles pour le XRS
- les points d’usures et l’entretien régulier du XRS

Au terme de cet article, nous vous ferons part de nos conclusions sur ce châssis et nous apporterons des réponses à nos questions posées au début de cet essai.

Nous tenons à renouveler nos remerciements au distributeur Français 2LB Racing pour le prêt de cette voiture et pour sa confiance.

Cliquez sur les images pour les agrandir

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Erratum sur l’étape 2 du montage : Les différentiels

J’évoquais des problèmes de craquements sur l’un des deux différentiels du XRS dans la première partie de notre essai.
La source de ce craquement a finalement été décelée après un énième démontage : l’un des deux plateaux placés autour de la couronne du différentiel était fêlé !

La qualité des plateaux de différentiel du XRS semble mise en cause, car outre mon plateau fêlé d’origine, un autre pilote de XRS m’a fait part de son plateau brisé en 3 après seulement quelques packs.

3 autres facteurs aggravent la fragilité de ces plateaux de différentiel :
- les contraintes exercées sur ces plateaux dès que l’on serre un peu le différentiel.
- le rôle de ressort / amortisseur joué par les plateaux dans le différentiel
- un support partiel des plateaux par les sorties de différentiel

Pour éviter cette déconvenue, nous vous conseillons d’opter pour des plateaux de Losi XXX plus fiables, et s’adaptant sans problème.

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Fin du montage (électronique, roues, carrosserie, etc…)

Etape 18 : Electronique, pneus, carrosserie | sachet(s)s : 3, 4, 5, 7, 9, 10, 12, 18

Nous allons reprendre cet essai là ou nous nous étions arrêté, c’est-à-dire sur un châssis monté mais dépourvu d’électronique, pneus, etc…

Force est de constater que l’espace disponible pour monter ces éléments est réduit à sa plus simple expression, comme sur la plupart des châssis 4 roues motrices récents où la transmission occupe une place importante.

Il est cependant possible de monter sans encombre des éléments de taille « classique » comme un variateur LRP V6, un récepteur Sanwa …

Cependant, les éléments électroniques volumineux comme ceux utilisé en Loisir sont à bannir, ce qui peut sembler assez logique.
Plus problématique, les variateurs Brushless équipé de gros condensateurs (le Mamba par exemple) ont du mal à trouver leur place car leur hauteur importante empêche la pose de la carrosserie.
Il faut donc parfois avoir recours à une répartition différente de l’électronique sur le châssis.

Le servo de direction

Le servo de direction est le 1er élément à monter sur le XRS.
Il est fixé au châssis par deux montants latéraux maintenus par deux vis fraisées et par une couche de double face.
En effet, un vide de 2 mm existe entre le servo et le châssis car les montants sont un peu plus grands que lui ; le double face fait donc ici office de « joint fixant ».
Astuce
Le montage du servo requiert une méthodologie à réaliser en plusieurs étapes :
1. Assemblez le bras en acier reliant le servo aux palonniers de direction
2. Glissez le bras en acier dans le trou prévu à cet effet dans le châssis baignoire
3. Clipsez le bras en acier au palonnier de direction
4. Réinitialisez votre servo de direction au neutre
5. Montez un bras assez court en sortie de votre servo
6. Montez votre servo sans serrer les vis, et sans double face (pour les ajustements)
7. Pliez le bras en acier jusqu’à ce que celui-ci adopte le bon angle et relie le servo aux palonniers
8. Fixez le bras en acier au bras du servo
9. Vérifiez que le bras en acier circule librement dans le trou aménagé dans le châssis, sinon recommencez.
10. Ajustez la longueur du bras,la position du servo, les trims…
11. Fixez le servo avec le double face et les deux vis.
Point négatif

- montage pénible et arriéré
- les bras à monter en sortie de servo ne sont pas fournis
- sur mon KO FET 1002, le bras du servo est juste en face de l’écrou du support de carrosserie, ce qui m’a obligé à le découper.
- pas de sauve servo

Le variateur électronique

Le variateur vient se placer sur le servo, cette position est idéale car proche du moteur, des accus et en plus facile d’accès.
Cette situation permet aussi de limiter et d’optimiser la longueur des câbles traversant le châssis.

Le récepteur

Le récepteur se place à l’arrière du châssis derrière le servo de direction.
Le support du tube d’antenne est attenant ce qui évite tous risques de tops liés à un fil d’antenne errant sur le châssis.
Les fils reliant le récepteur au variateur et au servo sont ici aussi à optimiser.

Le moteur

Le moteur se loge dans son support aluminium, celui-ci est pivotant pour permettre un réglage de l’entre dents au toucher car la visibilité sur cette partie du châssis est nulle.
Point négatif

- nous avons constaté un mauvais usinage de notre support moteur, en effet, le trou accueillant la vis de serrage a été percé de travers ; la vis vient alors toucher la partie mobile du support ce qui gêne le réglage de l’entre dent et rend son démontage impossible lorsque le support s’est dilaté sous la chaleur.
- un autre point faible constaté est la ventilation insuffisante du moteur ; malgré les 2 entrées d’air percées dans le châssis et la carrosserie ; lorsque celui-ci est très sollicité comme sur les pistes moquette en indoor. Dans ces conditions, la pose d’un ventilateur et d’un radiateur est obligatoire.

Le pack d’accus

Placé en 2x3 de chaque coté du cardan central, les accus sont bien calés sur leur emplacement et leur ventilation par le dessous est suffisante.

Attention cependant à leur proximité avec le cardan central car un contact et des frottements préjudiciables peuvent avoir lieu si le câble reliant les deux blocs de 3 éléments est trop épais.

Remarques sur l’électronique

Comme vous pouvez le constater sur ces photos, je n’ai pas optimisé la longueur de mes câbles sur le XRS car cette longueur est tout à fait adaptée à mon châssis.

Mais je vous encourage néanmoins à le faire, d’une part pour vous éviter tout problème avec la couronne et le cardan central très proches et d’autre part pour disposer d’un châssis plus propre et accessible.

Les roues

Les jantes du XRS sont spécifiques TTech, il faut donc se constituer un stock de pneus collés sur jantes TTech.

Les jantes sont pleines ; leur rigidité est bonne (comparable aux modèles Losi) ; les 2 couloirs permettent de monter idéalement les pneus et les 4 points d’ancrages devraient théoriquement favoriser la transmission et je n’ai pas constaté de casse.

La carrosserie

La forme de la carrosserie est très travaillée, avec deux entrées d’air prévue de chaque côté pour refroidir le moteur et le variateur.
Le lexan est souple et de bonne facture, il se plie bien et ne se casse pas.

Enfin, le point le plus appréciable de cette carrosserie est la présence sur chaque flanc d’un bourrelet qui vient se fixer tout le long du châssis baignoire assurant une étanchéité parfaite.

Point négatif :

- les contours de découpe ne sont pas toujours marqués
- les caches fenêtres ne sont pas fournis, nous vous proposons donc les nôtres ci dessous
- les clips sont durs, à remplacer par des clips coudés plus accessibles

Le XRS finalisé

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Essai du Predator XRS

Après tout nos petites mésaventures survenues lors du montage, nous sommes enfin sur le point d’essayer le XRS !!!

Nos essais ont eu lieu en Indoor sur la piste moquette du MRCI. En effet, malgré nos prières, la météo ne s’est pas montrée clémente et les pluies abondantes ne nous ont pas permis de tourner sur la piste Tout Terrain du MRCI habituellement utilisée pour nos essais et malheureusement trop boueuse pour rouler dans des conditions correctes, ni sur les autres pistes Tout Terrains environnantes.

Configuration

Petite nouveauté de cet essai, nous décrivons dorénavant l’équipement monté sur notre voiture de test, en l’occurrence, notre Predator XRS :
- Moteur : Reedy 13x3
- Variateur : LRP V6
- Accus : 2400 et 3300 Orion
- Servo : Ko Propo FET 1002
- Radio / récepteur : Airtronics M8
- Pneus avant : Schumacher Ballon en gomme Jaune et Schumacher Mini Spike en gomme Jaune
- Pneus arrière : Schumacher Mini Spike en gomme Jaune

Certains ne manquerons pas de remarquer que nous avons « seulement » monté un moteur 13x3, pourquoi ce choix ?
Tout simplement parce qu’un plus gros moteur n’apporte absolument rien sur notre piste d’essais à la fois courte et sinueuse. Théorie confirmée lors de nos essais où le slipper et les différentiels furent extrêmement sollicités.

Réglages

Comme les points d’ancrages sont limités, voir unique, les réglages se font le plus souvent par l’ajout / suppression de rondelles entre le triangle et la chape pour varier les angles.

Mais le réglage le plus surprenant du XRS pour un TTiste est la fluidité (ou plutôt l’absence de fluidité) de l’huile dans les amortisseurs avec des valeurs de 50, 55, 60, 65, 70 … beaucoup plus proche du DTM que du TT.

TTech fournit une feuille A4 décrivant les réglages « standards » à appliquer selon le type de surface plus ou moins accrocheuse :

Bonne initiative également du distributeur Français 2LB Racing qui fournit des fiches de réglages pour les circuits sur lesquels le Team 2LB s’est déplacé.
Ainsi qu’un document PDF en Anglais expliquant les différents réglages possibles sur le châssis.

Enfin, le site The Pred.co.uk propose différents documents très pratiques :
- Un tableau de rapport de transmission
- Comment reconnaître les ressorts TTech
- Une fiche de réglage vierge type Losi
- Des astuces de réglages

Sensations, ressentis à l’issu de nos essais

Voici à chaud les commentaires recueillis auprès de JC, pilote essayeur de Gaz-On et compétiteur 4x4 :

« Tout d’abord, le XRS est très facile à prendre en main et cela même avec les réglages de boîte.
Le comportement du châssis est sain, très stable et la motricité est excellente.

Par contre, la directivité de la voiture ne m’a pas convaincu, elle est en effet extrêmement vive autour du neutre sans offrir une directivité totale exceptionnelle.
Mais cela était peut être du au choix des pneus (Schumacher Ballon Jaune à l’avant et Schumacher Mini Pin Jaune à l’arrière).

Par ailleurs, le XRS est vraiment très efficace lors des changements d’appuis et ne souffre d’aucune tendance à la dérive, contrairement à un XX4 WE par exemple, c’est très agréable.
Cette qualité est sans doute due à la bonne répartition des masses sur le châssis.

Concernant les sauts, j’ai trouvé le XRS nickel. Reste à voir comment le châssis réagit sur une piste défoncée... »

Pour ma part, j’ai noté :
- une transmission très efficace, le slipper et les différentiels tiennent bien leur rôle
- une motricité excellente, tout ce qui n’est pas filtré par le slipper et les différentiels est fidèlement transmis aux roues
- une très bonne directivité en entrée de virage, et beaucoup moins convaincante en sortie de virage
- un bon amortissement
- la voiture est saine et incroyablement facile à prendre en main même avec les réglages de boite
- avec des réglages adaptés, le XRS est encore plus efficace et gagne en directivité en sortie de virage
- le châssis saute presque à plat avec une légère tendance à partir sur l’arrière facilement rattrapable
- les changements d’appuis sont très bons grâce aux amortisseurs montés sur basculeurs.

Côté public, le XRS fait sensation avec ses formes affûtées et ses amortisseurs à plats. Son look de tueur ne laisse pas non plus indifférent, on aime ou on déteste ; personnellement, j’adore !

Rencontre avec le Kyosho ZX5

La différence de conception saute aux yeux !

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Vidéo de l’essai du XRS

Petite nouveauté pour cet essai, nous avons décidé de vous faire profiter de nos essais du XRS en réalisant un montage vidéo, petit plus sympa pour se faire une idée par soi même du comportement et des aptitudes de la voiture :

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Entretien, points d’usures…

Autre nouveauté de cet essai, cette section « Entretien » ; dont l’idée nous est venue à la suite de nos divers problèmes et incertitudes rencontrées tout au long du montage du XRS ; a pour but de tester la facilité et la rapidité avec laquelle l’auto se monte, se démonte et de répertorier ses points d’usures constatés.

Montage / démontage

Afin de vérifier si le XRS est facile d’entretien, j’ai entrepris le démontage des trains avant et arrière pour accéder aux différentiels.
Après nos petits soucis de montage, nous n’étions pas vraiment optimistes… et là bonne surprise, le XRS s’est révélé être relativement facile et rapide à démonter et à remonter dès que l’on connaît un peu le châssis.
C’est un point très positif pour les compétiteurs où le temps entre 2 manches est souvent compté pour effectuer les réparations / modifications nécessaires.

Ce constat positif met cependant à nouveau en avant le contenu qualitatif médiocre de la notice de montage fournie par TTech.

Points d’usures

Les points faibles des anciennes versions du Predator étaient les casses fréquentes de la transmission et la relative fragilité des renvois et des supports triangles.

Comme nous ne bénéficions pas du recul nécessaire pour vérifier si le XRS ne souffrent pas de ces défauts, nous avons interrogé des possesseurs de X10 pour connaître les points d’usures et leur avis général sur la fiabilité de leur voiture.

Côté fiabilité, les pilotes sont unanimes, le X10 est fiable, et comme le XRS est à plus de 80 % identique au X10, on peut espérer qu’il bénéficie du même niveau de fiabilité (les pièces de rechanges fournies sont d’ailleurs étiquettées X10).

Côté points d’usures à surveiller, nous en avons dressé une liste non exhaustive :
- comme prédis lors du montage, le support d’aileron arrière à tendance se brise assez vite, 2 options s’offrent à vous pour le fiabiliser ; soit ajouter l’axe support en option, soit opter pour des supports Losi.
- Les triangles des X10 cassent sur des chocs violents, mais comme le XRS est équipé de triangles plus souples, ils devraient donc se plier davantage lors des chocs et être moins cassants.
- Les biellettes en acier du XRS se plient avec le temps, à remplacer par des modèles en titane à pas inversés qui permettent en plus de régler votre auto.
- les renvois de direction en plastique du XRS et la tige en acier attenante sont trop souples, et ont une durée de vie limitée, à changer pas les modèles en aluminium
- toujours sur la direction, optez pour des vis plus longues avec contre écrou et frein filet pour fixer les boules des biellettes de direction.
- Après une longue période d’utilisation, la platine supérieure arrière se creuse dans la rainure prévue pour accueillir le roulement du cardan central. Un jeu vertical apparaît alors sur le cardan central qui peut entraîner la casse du pignon conique. Vérifiez cette prise de jeu régulièrement et changez au besoin la platine supérieure.

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Conclusion

Le Predator XRS de TTech Racing bénéficie de véritables qualités dynamiques, le châssis s’est révélé être très performant, efficace et bien équilibré.
Tous ces atouts le place d’emblée au niveau de ses meilleurs concurrents en terme de performances.
De plus la fiabilité est dans la bonne moyenne ce qui est un point important.
Et il faut ajouter à ce constat, un look unique qui ne laisse personne indifférent, sa qualité de fabrication, sa conception excellente et son entretien aisé.
Enfin son prix public de 399 € le situe dans la moyenne de la catégorie.

Alors le XRS est il exempt de défauts ?

Soyons clair, la réponse est Non.
On lui reprochera tout d’abord sa notice de montage insuffisante, son 1er montage délicat à réaliser sans se prendre la tête, et surtout sa finition hasardeuse sur certaines pièces.

Mais le principal défaut du XRS tient en un simple calcul très simple à réaliser :
à 399 € le XRS est dans la moyenne des kits concurrents Losi XX4WE ; XXX4G+ et Kyosho ZX5 … , sauf que ces autres références bénéficient de matériaux plus nobles comme le titane et le carbone en lieu et place de l’acier et de l’époxy utilisés sur le XRS.

Si on s’amuse alors à comptabiliser les différentes options nécessaires pour mettre notre XRS au niveau de ses concurrents et améliorer du même coup sa fiabilité, on obtient alors :
- tube renfort support aileron à 12 €
- renvoi de suspension en alu avec roulements à 34 €
- ressort gold de pré compression avec guide ressort à 14 €
- barre de direction en alu avec renvoi à 45 €
- kit de biellettes titane à 20 €

une facture de 524 € soit seulement 35 € de moins que le X10… qui offre en plus les pièces carbones, la roue libre, les barres anti roulis, etc… à cogiter

Le pari de TTech de produire une version économique de son X10 n’est donc que partiellement atteint.

Pour conclure, le Predator XRS de TTech Racing nous a conquis par ses qualités dynamique et son look hors du commun.
De plus, notre essai a fait ressortir qu’il s’agit bien d’une excellente voiture radiocommandée, très efficace, facile à prendre en main, bien conçue et fiable.
Bref tout ce que l’on peut attendre d’une voiture radio commandée de qualité !

Et il ne faut pas oublier que ce XRS proposé à 399 € est votre ticket d’entrée dans la cour des voitures radio commandées produites en petite série (Durango, Bj4…) et cela pour le prix d’un classique Losi XX4 WE !

Le tableau ci-dessous synthétise les points forts et faibles du XRS, en reprenant nos conclusions de notre 1ère partie à l’exception de « Qualité de fabrication remarquable » remplacé par « Qualité de fabrication générale » suite aux différents problèmes rencontrés dans cette seconde partie de l’essai.

Points +Points -

-  Conception identique au X10
-  Efficacité
-  Motricité
-  Fiabilité
-  Entretien
-  Bon équilibre du châssis
-  Qualité de fabrication générale
-  Qualité des amortisseurs
-  Look
-  Packaging
-  Contrôle qualité sur chaque sachet
-  Anodisation pourpre des pièces alu

-  Coût total avec options
-  Finition hasardeuse sur certains éléments
-  Notice insuffisante
-  Rangement des sachets
-  Montage du servo de direction
-  Plateau de différentiel fêlé
-  Outils de montage non fournis
-  Pneus non fournis

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